C’est officiel ! Pour la 29ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), 235 films ont été sélectionnés parmi 1 351 œuvres provenant de 48 pays. Une prouesse qui témoigne de la vitalité et de la diversité du cinéma africain.

Un festival sous le signe des identités culturelles

Placé sous le thème « Cinémas d’Afrique et identités culturelles », le FESPACO 2025 promet d’explorer les multiples facettes de l’âme africaine à travers l’objectif des cinéastes. Le délégué général du festival, Moussa Alex Sawadogo, a précisé que les œuvres retenues, réparties en 13 sections, reflètent une mosaïque d’histoires et de réalités.

Cette année, la République du Tchad est à l’honneur. Une reconnaissance pour ce pays qui s’illustre de plus en plus sur la scène cinématographique.

Un rendez-vous incontournable du 7ᵉ art africain

Créé en 1969, le FESPACO est bien plus qu’un festival : c’est une institution, un cri de ralliement pour tous les amoureux du cinéma africain. Tous les deux ans, Ouagadougou devient le cœur battant de la culture panafricaine, attirant des milliers de festivaliers venus des quatre coins du monde.

Du 22 février au 1ᵉʳ mars 2025, la capitale burkinabè vibrera au rythme des projections, des débats et des rencontres. L’objectif ? Réaffirmer la place du cinéma africain sur la scène internationale et célébrer son rôle dans la préservation des identités culturelles du continent.

Le FESPACO, c’est une fenêtre ouverte sur les histoires qui font l’Afrique, celles que seuls les Africains peuvent raconter avec authenticité. Plus qu’une compétition, c’est un espace de fierté et de résistance culturelle.

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